De nombreuses personnes me disent lorsque je les rencontre qu’elles ne reçoivent plus les nouveaux articles par mail ou bien qu’elles ne voient pas de nouveaux articles sur le blog.
1 – Le blog a changé : la nouvelle adresse d’accès est :
Mettez-la dans vos favoris pour la retrouver rapidement.
2 – Comme c’est un nouveau site, il faut refaire une inscription pour recevoir les articles par mail.
Pour cela : sur la colonne de droite de la page d’accès à ce nouveau blog, il faut descendre jusqu’à trouver « Suivre » ou « s’inscrire… » et cliquer dessus.
Là, il faut remplir les coordonnées (adresse mail…) et c’est fait ! ! !
Après une interruption assez longue pendant laquelle nous sommes allés passer le mois de juillet en France avec deux de nos petits-enfants puis un retour à Agadir où leurs parents sont venus nous rejoindre et profiter de tout ce qu’on peut trouver dans la région.
Le blog va changer : son adresse web est maintenant :
J’ai été informé ce matin par sa fille Florence que les obsèques de Nelly Sambrana seront célébrées le 7 juillet 2015 à 11 H 00 à l’Eglise Sainte Anne d’Agadir. L’inhumation aura lieu au cimetière de Yachech à l’issue de la cérémonie.
Adieu Nelly, ta gentillesse et ton sourire vont nous manquer !
C’est avec beaucoup de peine que nous vous faisons part du décès hier après-midi de notre amie Nelly Sambrana.
Agadir perd encore une de ses figures qui était connue de tous les anciens Gadiris
La voici chez elle, en compagnie de sa fille Florence et de son frère Gérard :
A ses enfants et à ses frères, nous présentons nos plus sincères condoléances et nous sommes près d’eux par la pensée dans ces circonstances douloureuses.
Nous vous informerons de la date des obsèques dès que celle-ci nous sera communiquée.
-C’est un petit bonus avant notre départ en vacances –
Le Sofitel Agadir Royal Bay Resort organisait hier une Garden-Party pour la fête des Mères.
En musique, bien sûr ! avec Yass :
De nombreuses activités avaient été préparées pour que les enfants puissent s’amuser :
et les démonstrations de Hip-Hop et Break-Dance ont eu beaucoup de succès :
Et tous, petits et grands ont pu se régaler avec le somptueux buffet qui était à leur disposition :
Il convient, encore une fois de féliciter Sofitel pour son implication dans les événements d’actualité et également pour la promotion de la culture à Agadir : expositions des oeuvres picturales des meilleurs artistes peintres marocains, expositions de sculpture, cafés littéraires, Musicales d’automne…
Une très belle soirée hier à l’Institut Français d’Agadir où la rencontre de Lita et Valérie a permis de mettre en scène ce conte, de l’illustrer avec les magnifiques dessins de Valérie, de présenter les modèles créés par Lita et d’apprécier la chorégraphie d’Evelyne. Une belle réussite qui a enchanté les petits et les grands et qui a représenté pour les créateurs un travail considérable pour toutes : Valérie qui a préparé le livret de ce conte, Lita qui travaille depuis novembre pour la création de tous les modèles présentés et pour Evelyne pour les très nombreuses répétitions du spectacle, sans oublier les artistes et modèles présents sur la scène qui ont beaucoup travaillé et montré beaucoup d’assiduité et de sérieux pour ces répétitions.
Le spectacle à l’Institut Français :
La soirée s’est ensuite terminée au Restaurant Côté Court
Tout ce petit monde y était accueilli pour un repas en musique avec défilé des modèles habillées par Lita Fashionnata et une présentation des produits et soins de Swiss Bio Institut, Maquillage Coiffeur Esthétique de Erika Bersellini
et, en fin de soirée Erika Bersellini a fait procéder par une petite main innocente au tirage au sort de plusieurs soins offerts par Maquillage Coiffeur Esthétique Swiss Bio Institut
Une réalisation unique au Maroc ! Croco Parc sera un pôle d’attraction touristique national et international qui participera au rayonnement de la ville d’Agadir et de sa région.
L’inauguration a eu lieu hier pour présenter aux personnalités de la région, à la presse et aux médias cette magnifique création.
Une visite guidée en images : L’entrée et l’accueil
Une partie des 320 crocodiles était déjà « en liberté » dans les bassins, mais nous avons pu assister au lâcher d’un certain nombre d’entre eux qui attendaient la liberté :
Un petit tour, avec ces sympathiques « petites bêtes »
Beaucoup de monde était là pour relater l’événement :
Une vue de la conférence de presse organisée sur place pour donner toutes les informations à la presse et aux médias :
Toutes les autorités locales étaient présentes pour marquer leur adhésion à ce beau projet qui a mis 4 ans à aboutir :
Et c’est à Philippe Alléon qu’est revenu, à juste titre, l’honneur de couper le ruban :
Le parc ouvre aujourd’hui dimanche 31 mai au public :
J’ai été insulté récemment, comme vous avez pu le constater par deux minables jaloux, incapables de faire autre chose que de démolir ce que font les autres et qui (quel courage…), faute de pouvoir s’en prendre à moi directement, s’en sont pris indignement à mon père, décédé depuis bientôt 60 ans et qui n’est pas là pour se défendre.
J’ai apporté les preuves que ces diffamations étaient infondées et, dans un coup d’abattement après ces odieuses calomnies, j’avais décidé de mettre fin au blog d’Agadir et d’effacer définitivement l’ensemble de tout ce qui y avait été publié.
J’avais demandé de ne pas essayer de me dissuader de cette décision, mais j’ai reçu une telle quantité de messages de sympathie, à la fois sur le blog (129 messages), sur Facebook ( 84 messages), et par courrier personnel (13 mails) que j’ai décidé, quitte à être qualifié de girouette, de revenir sur ma décision et ce pour plusieurs raisons :
Les deux énergumènes qui sont à l’origine du problème m’ont envoyé un courrier mail (que je ne publierai pas, mais que je conserve) m’indiquant leur satisfaction de voir le blog se fermer, en m’indiquant qu’ainsi, la Justice n’aurait pas à le faire. Je leur laisse donc le soin de s’en occuper, mais en attendant, ils n’auront pas la satisfaction de me faire taire !
C’était un plaisir pour moi de partager toutes les nouvelles de ce qui se passait dans notre belle ville d’Agadir avec la revue de Presse qui était incluse dans le blog (du copié-collé, bien sûr, mais s’agissant d’une revue de presse, j’y suis bien obligé).
Par respect envers les membres d’Izoranes qui m’ont honoré récemment, justement pour ce travail que je faisais pour Agadir, je ne peux pas abandonner.
Pour vous tous qui suiviez de près ou de loin la vie d’Agadir, et à qui je faisais découvrir des coins peu connus et si pittoresques de notre région, je vais continuer à le faire.
Il m’a fallu plusieurs jours pour me reprendre, analyser sereinement la situation et digérer tout ça !
Nous allons prendre, Nicole et moi un peu de vacances : départ en France en voiture le 5 juin, un mois chez nous à Bayonne puis nous irons chercher deux de nos petits-enfants en Région Parisienne, pour revenir avec eux à Agadir vers le 14 juillet. Leurs parents nous rejoindront début août et ils repartiront tous les quatre vers fin août.
Le blog restera inactif pendant toute cette période et reprendra donc début septembre sous une forme probablement un peu différente (je vais réfléchir à la question) et vous serez informés sur ce blog de la suite. Donc, pour ceux qui le souhaitent, ne vous désinscrivez pas du blog.
Comme je l’ai indiqué, deux reportages seront encore publiés avant les vacances :
L’ouverture de Crocoparc, un plus incontestable apporté à toute la région, avec ce parc unique au Maroc !
La soirée « Kalima » à l’Institut Français d’Agadir, une belle soirée que nous promettent mes deux amies Lita et Valérie, ce d’autant plus qu’elles m’ont choisi pour être le parrain de Kalima puisque j’ai permis qu’elles fassent connaissance et qu’elles concrétisent ensemble cette belle idée de Kalima.
Une merveilleuse soirée nous a été offerte hier par le Consulat général d’Espagne et l’Institut Cervantes avec un extraordinaire spectacle de Flamenco qui nous a fait plonger dans les racines de la culture espagnole.
Le Flamenco a été inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO le 16 novembre 2010.
La prestigieuse danseuse, Ursula Lopez et les musiciens nous ont subjugués pendant tout le spectacle.
si vous ne le saviez pas encore, votre compagnon « Abdallah le petit » est un menteur et j’ai des preuves à la place de pseudo « souvenirs de famille » sans aucun fondement écrit.
Le père de ce menteur n’a pas pu être reçu par mon père, en effet, l’état-civil des marocains aux Services Municipaux n’était pas tenu par mon père, mais par des marocains. S’il a été mal reçu, c’est par des marocains : Les preuves en photos, avec les noms :
De plus, le père d’Aourik ne parlant pas français n’avait pas besoin d’emmener un de ses enfants sur place pour traduire : trois interprètes sur place faisaient partie du personnel des Services Municipaux :
C’est bien la preuve que vos assertions ne sont que mensonges !
Voici, d’autre part un article paru dans le journal national « La Vigie Marocaine » au moment de notre départ du Maroc :
Ce que vous dites au sujet de l' »incident » du pont de Tildi est un mensonge du même acabit : nous n’habitions pas près du pont de Tildi situé entre Robinson et le Marhaba, mais près de l’autre pont de Tildi (au bas du square Briand) : encore une autre falsification ! (QUELLE COLLECTION !!!)
Heureusement que nous avons des archives qui permettent de confondre les calomniateurs !
Tout le monde peut ainsi se faire une idée de la réalité !
Voici un courrier qui m’est parvenu hier de la part d’une certaine Anne-Marie Parmentier qui veut refaire l’histoire d’Agadir avec « Abdallah le petit »
Je publie ceci uniquement pour que chacun sache ce que valent ces tristes personnages, ces malotrus nuisibles :
(nuisibles par les mensonges éhontés qu’ils colportent et la division qu’ils peuvent générer dans une ville qui a toujours été réputée par sa tolérance et l’acceptation des autres)
Je vous laisse juges de l’élégance de certains termes !
Et cette fois-ci, je n’ai pas corrigé les fautes d’orthographe qu’on peut certes pardonner à un berbère (Aourik en l’occurrence, mais ce n’est pas lui qui a écrit)
Bonjour,
Je peux enfin vous donner des explications complètes concernant l’article.
Abdallah et moi avons des occupations différentes à des endroits différents et ce n’est pas toujours évident de trouver un temps pour discuter hélas.
Abdallah à aussi eu des réticences concernant la divulgation de ses sources, mais pour vous il fera exception.
Concernant : – Le rapport de l’administration et les indigènes.
Vous n’ignorez pas sans doute qu’Abdallah fait partie d’une très ancienne famille aux très nombreux membres et qui malheureusement en perdit une grande partie dans le séisme. Les récits familiaux sont suffisants sans aller chercher bien loin des témoignages français qui certainement ne seraient pas du même style.
Mon beau père avait de très nombreux enfants, ne parlait que Berbère (et pas français) et devait prendre un de ses enfants avec lui, chaque fois qu’une démarche était nécessaire à l’office de l’état civil. Chez votre père naturellement.
C’est bien souvent Ahmed l’ainé qui l’accompagnait. Vous ne pouvez pas imaginer comment ils étaient reçus…Nous en avons encore parlé dernièrement avec le frère émigré aux USA qui était venu nous rendre visite.
Les démarches étaient tellement humiliantes que mon beau père en revenait malade à chaque fois.
Je pense que n’importe quelle vieille famille pourrait vous en dire autant.
Le grand père Moulay Abdel Salam était comptable et inspecteur de l’hygiène au marché municipal et racontait souvent à ses enfants les rapports humiliants , les brimades et les « magouilles » qui se tramaient dans l’administration.
Que pouvez-vous en savoir vous qui viviez le cul dans le beurre une existence de petit français entouré de domestiques.Ce n’est pas un reproche, mais soyons réaliste, la vie d’Abdallah et de ses amis n’avait rien à voir avec la vôtre.
Colonie ou protectorat, la réalité était la même hélas.
Concernant: – L’affaire du pont de Tildi avec les détails.( voici le récit d’Abdallah):
« En 1955, un soir au couché du soleil, j’étais en compagnie de mes amis ABTKOUK, OUCHRF qui devint juge et TAFAR lui aussi devenu haut magistrat. Nous approchions du pont de Tildi lorsque venant du chemin de Robinson, deux messieurs Européens nous interpellent pour nous dire que nous n’avions pas à traverser le pont parce que nous n’avions pas le droit d’aller dans la ville nouvelle.
Nous fûmes très impressionnés et très déçus car nous avions l’intention d’aller voir le cinéma MARHABA . Ils nous renvoyèrent vers Talborgt (l’ancien).
Nous ne savions pas à qui nous avions à faire. Ce n’est que plus tard que nous reverrons l’un d’entre eux à des événements sportifs. Ainsi que bien des années plus tard encore, lorsque j’ai fait des recherches de photos pour la revue AGADIROFLLA , j’ai vu ce personnage sur des photos et en me donnant les noms, je connu enfin celui de la personnes qui nous avait apostrophée sur le pont de Tildi. Monsieur Terrier le fonctionnaire de l’état civil…
En 2005, à l’occasion des festivités de commémoration de l’indépendance, j’ai publié Agadiroflla N° 10 sous le titre « Il était une fois Agadir de la France ». sans aucun apriori sur les personnes.
Et un article concernait les courses automobiles avec des photos et les noms des personnages y apparaissant dont votre père Monsieur Terrier.
Après la publication, j’ai été fortement critiqué et en particulier par Jacques Thibeault (qui fut le propriétaire du premier café d’Inezgane) actuellement retraité en France.
Il me reprocha sévèrement d’avoir publié les noms de ce groupe dont faisait partie votre père parce qu’il les qualifiait de la « mafia d’Agadir » dont l’attitude était peu recommandable il était bien placé pour le savoir.
En 2015, lorsque j’ai relaté les honneurs attribués par Izorane, je n’ai pas voulu à nouveau essuyer des remontrances des vieux Gadiris et en publiant votre nom, j’ai relaté l’événement de Tildi.(évènement mineur).
Je regrette l’incident qui vous blesse sans doute, mais on n’est pas responsable de la vie de ses parents et je suis désolé de vous apporté la preuve que votre père n’était peut-être pas aussi angélique que vous le pensiez. Vous avez voulu des preuves, j’ai hésité à vous les donner maintenant il ne faut pas le regretter. vous avez fait votre devoir de fils.
Je regrette l’incident mais ma « mémoire de Gadiris » est au dessus des considérations personnelles l’histoire n’est pas toujours celle des ourses en peluche.
Une autobiographie d’Agadir est en préparation avec des professeurs d’histoire universitaire et deviendra un jour, un film.
Inchallah.
Une réponse précise est en cours de préparation, le temps de collationner des éléments réels et non des ragots vengeurs issus de jalousie, d’anticolonialisme retardé venant d’un malade atteint d’un gâtisme précoce.
Je peux dire que ce n’est pas à son honneur de s’en prendre à quelqu’un qui a fait beaucoup pour la Ville d’Agadir, a participé à son expansion et… qui est décédé depuis bientôt 50 ans !
Heureusement, « Abdallah le petit » ne fait pas l’unanimité à Agadir. Voici quelques réactions que le premier message a suscité de la part de personnes de toutes origines. Je cite en vrac :
Aourik, un taré dégénéré Un décérébré
Un débile
Le bouffon de la Ville d’Agadir
Un lâche qui déverse son fiel dans ses écrits
Il est fou ce type, c’est un malade !
Ce peintre est un fou, un taré
Ce petit minable d’Aourik, un sale type
Ces qualificatifs sont incontestables : j’ai gardé les messages, et il y en a d’autres !
Une mise en scène étonnante, minimaliste, mais très agréable à voir, un « monologue » à deux voix joué par deux excellentes actrices Mouna Belghali, Estelle Lesage. C’est du « vécu » donc évidemment subjectif.
Voici ce que l’auteure Karima El Kharraze dit de sa pièce :
« Arable raconte le parcours d’une jeune femme née de parents marocains dans la France des années 80. L’invention de soi et la filiation passent par le rapport à la langue : l’arabe marocain, ciment de la mémoire du pays d’origine et vecteur d’une poésie orale, est confronté au français, langue de la littérature et de l’Histoire à travers l’école républicaine.
Arable veut dire fertile car au lieu de nous en tenir aux racines, nous invoquons des possibles. A l’instar des poumons de mon père pleins de la terre rouge de son pays et du mastic de la chaîne de montage de Renault Flins, je porte en moi les strates de toutes les terres traversées, de la Normandie à Essaouira en passant par l’Allemagne. Arable est autant un hommage aux racines qu’aux boutures ».
Voici quelques photos prises pendant la pièce :
et une courte vidéo qui rappellera à ceux qui ont vu la pièce, quelques moments :
Le 20 mai 2015, le lycée français d’Agadir, un établissement OSUI, a présenté le travail de ses élèves dans le cadre d’un projet d’interprétation des sites et monuments d’Agadir encadré par Mme Tassain-Aboutayeb. Ledit projet avait été réalisé dans le cadre d’une collaboration avec le Conseil Régional du Tourisme d’Agadir Souss Massa Drâa (CRT) d’où son caractère innovant puisqu’il s’agit d’une démarche participative dans le développement touristique de la destination. En effet, les jeunes de la ville ont élaboré une interprétation touristique en français et en anglais pour certains sites et monuments touristiques de la ville via des outils numériques.
M. Claverie, Proviseur du Lycée Français d’Agadir
Mme Tassain-Aboutayeb qui a encadré ce travail
Les trois élèves qui ont brillamment présenté ce projet :
Plusieurs représentants des organismes et institutions publiques et privées, du CRT, de la wilaya, de la Commune urbaine, Association des agences de voyages d’Agadir, des professionnels du tourisme étaient présents. Le Consul général de France à Agadir, M. Marc Peltot et son épouse ont également assisté à l’événement.
La destination d’Agadir est certes la première destination touristique balnéaire du Royaume avec une prédominance du tourisme international (80% des nuitées en hôtels classés sont enregistrées par le tourisme international). Toutefois, la Agadir souffre notamment du manque de valorisation patrimoniale et d’animation touristique (information et interprétation touristique).
Les élèves ont donc tenté de répondre à cette problématique via l’Etourisme : l’utilisation d’outils numériques pour la valorisation touristique. Les visiteurs peuvent ainsi découvrir la ville d’Agadir autrement, avec leur smartphone d’une manière originale et ludique.
Les élèves ont présenté un travail approfondi et rigoureux sur la ville d’Agadir. Ils ont, tout d’abord, créé un site internet (www.agadirmonuments.com) afin que les internautes aient une interprétation en ligne, en français et en anglais des sites et monuments de la ville. Ils ont également préparé des codes QR qui pourraient être affichés sur chaque monument. Les visiteurs pourraient ensuite scanner ces codes afin d’obtenir l’interprétation du site en question en français et en anglais.
Le site agadirmonuments.com
Ils ont également utilisé une application de réalité augmentée « Aurasma » pour l’interprétation de deux monuments de la ville à savoir : Agadir Oufella et le mur du souvenir. Il suffit, pour les visiteurs, de télécharger gratuitement l’application et de suivre le compte « Agadir ». Ensuite, les visiteurs scannent le monument à l’aide de l’application et des icones s’affichent en superposition de l’écran afin de proposer une interprétation via une vidéo ou des textes. Par exemple, pour le mur du souvenir, ils ont mis une vidéo du discours de Sa Majesté le Roi Mohamed V, vidéo dont les élèves ont fait les traductions en français et en anglais.
Deux copies d’écran de l’application Aurasma (téléchargeable gratuitement sur Google Play Store pour Android et sur App Store pour Apple)
Ce genre d’initiative est très louable de la part de la nouvelle génération qui maîtrise parfaitement les technologies de l’information et de la communication. Le projet est à la fois créatif, innovant et ouvre sur des perspectives concrètes pour la valorisation touristique d’Agadir. Il a permis aux nouvelles générations de participer au développement local, de mettre en avant leur identité gadirie et de découvrir une nouvelle perspective de leur patrimoine et au devoir de mémoire qui y est intimement liée.
Vidéo de présentation :
Il manque maintenant très peu de choses pour finaliser ce projet innovant qui serait si utile à la Ville d’Agadir et ce peu de choses ne coûterait rien : il suffit de la part des autorités de donner les autorisations d’apposer des QR-codes discrets sur ou à proximité immédiate des monuments ou sites choisis pour qu’il soit pleinement opérationnel. Il faut espérer que l’occasion sera saisie rapidement !
Par Rania Berrada – huffpostmaghreb.com – 19/05/2015
Le réseau autoroutier marocain s’apprête à accueillir quatre nouveaux axes, selon lavieeco.com. Le journal précise sur son site internet que ce projet qui constitue « un socle pour la feuille de route 2016 » du ministère des Transports fait suite à une réunion entre Aziz Rebbah (le ministre de tutelle, ndlr) et différents bureaux d’études.
Le projet concerne les axes Agadir-Guelmim, Fès-Tanger, Safi-Béni-Mellal (via Marrakech) ainsi que la construction d’une voie supplémentaire sur l’axe Rabat-Aéroport Mohammed V. Selon les premières estimations, l’expansion du réseau autoroutier nécessitera entre 31,5 et 44,5 milliards de dirhams.
Carte interactive : Cliquez sur les tronçons pour voir apparaître les axes routiers et sur le menu déroulant en haut à gauche pour sélectionner ou désélectionner les trois calques: « autoroutes en projet », « réseau autoroutier actuel » et « renforcement d’axe ».
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Le réseau ferroviaire n’est pas en reste. Outre la ligne grande vitesse qui doit relier Tanger à Casablanca en 2h10 (au lieu de 4h45 actuellement) à horizon 2017 et qui est sur les rails depuis septembre 2011, l’ONCF planche actuellement sur deux nouveaux axes.
Le premier reliera Oued Zem à Beni-Mellal. Le second, d’une plus grande envergure, partira de Settat pour arriver à Laayoune en passant par Marrakech et Guelmim.
Carte interactive : Cliquez sur les tronçons pour voir apparaitre les axes ferroviaires
et sur le menu déroulant en haut à gauche pour sélectionner ou désélectionner les trois calques:
« réseau ferroviaire actuel », « Train Grande Vitesse » et « axes en projet ».
Le siège de la wilaya de la région Souss-Massa-Draâ a abrité, le 13 mai, les travaux de la septième étape du symposium national, organisée par le ministère de la Fonction publique, en collaboration avec le ministère de l’Intérieur.
Mohamed Yazid Zellou, wali de la région Souss-Massa-Draâ, s’exprimant lors de la rencontre. Ph. Aberbri
Organisés autour de la modernisation de l’administration, les travaux de cette rencontre, dédiée aux régions Souss-Massa-Draâ et Guelmim-Smara, ont été présidés par Mohamed Moubdii, ministre délégué auprès du Chef du gouvernement, chargé de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration, en présence de Mohamed Yazid Zellou, wali de la région Souss-Massa-Draâ, gouverneur de la préfecture d’Agadir Idaoutanane. À cette occasion, Mohamed Moubdii a dévoilé les modalités de mise en œuvre du plan d’action du ministère de tutelle, au titre des années 2015 et 2016, qui s’avère ample et ambitieux.
Ce plan d’action s’articule autour de trois axes prépondérants, dont la valorisation du capital humain, à travers la refonte du statut général de la fonction publique, la réforme des systèmes de retraites, notamment les pensions civiles des fonctionnaires de l’État et ceux des collectivités locales, la lutte contre l’absentéisme au sein de la fonction publique, la promotion de la mobilité des fonctionnaires et le recrutement dans un cadre contractuel dans les administrations publiques. Le plan d’action s’intéresse aussi à l’approche genre et la parité dans la fonction publique, à la consolidation de la prévoyance sociale des fonctionnaires, au soutien de la formation et de la formation continue, à l’organisation des affaires sociales, à l’évaluation et la refonte de la nomination aux hautes fonctions et à la gestion moderne des ressources humaines.
Le second axe concerne une multitude de projets. Il s’agit de l’amélioration de l’accueil, de l’orientation et du traitement des plaintes, qui consiste en l’élaboration d’un cadre référentiel permettant l’optimisation de la qualité d’accueil, l’adoption d’un modèle pilote d’accueil et sa généralisation sur 200 unités administratives, l’élaboration et l’adoption du projet de décret relatif au traitement des plaintes…
Il s’agit aussi de l’assouplissement des procédures administratives et de développement de l’administration électronique et de la création des espaces de proximité des services publics. Le troisième axe se penche sur l’élaboration et l’adoption de la stratégie nationale de lutte contre la corruption et la mise en place des programmes nécessaires à sa réalisation, la déconcentration administrative, qui consiste en la conception d’une stratégie globale pour une administration déconcentrée, accompagnant la mise en œuvre du chantier de la régionalisation avancée et en l’élaboration du pacte national de déconcentration administrative. Dans ce même axe relatif à la gouvernance et à l’organisation sont inscrits la modification et l’achèvement du projet de loi relative au droit d’accès à l’information
et l’élaboration et la mise en œuvre dudit pacte du service public.
La SMIT et la Société des centres commerciaux de Founty, filiale de la holding Best Financière, ont cosigné un accord de partenariat pour le développement d’un pôle d’animation à Founty-Agadir. Un projet de 830 millions de dirhams qui générera à terme plus de 1.000 emplois.
A travers le futur pôle d’animation à Founty-Agadir, la capitale du Souss bénéficie d’un partenariat qui s’inscrit dans le cadre de sa stratégie pour la valorisation des projets structurants et d’accélération des investissements de la vision nationale du secteur du tourisme.
Le pôle s’étale sur une superficie de plus de 55.000 m2 et prévoit notamment une offre de passe-temps variée et inédite, comprenant un pôle d’animation pour familles et des espaces de loisirs intérieur et extérieur (Fun Park, parc en plein air, etc.), précise la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT).
Porté par Best Financière, ce projet propose également une offre d’hébergement hôtelier et résidentiel, formant un cœur de vie conçu et inspiré de l’esprit médina avec une concentration des commerces (artisanat, produits du terroir…) sur son axe central.
Le pôle d’animation de Founty, censée doter cette zone touristique d’une centralité urbaine «authentique et de qualité», «viendra renforcer l’attractivité du Resort Founty et enrichir l’offre du produit touristique phare de la ville d’Agadir», a indiqué Imad Barrakad, président du directoire de la SMIT lors de la cérémonie de signature, qui s’est déroulée en présence du ministre du Tourisme, Lahcen Haddad.
La station balnéaire du Founty, qui s’étale sur une superficie de 266 hectares, a permis d’engager à ce jour un investissement de 8,5 milliards de dirhams porté par le privé. Cette zone accueillera, à terme, 17.000 lits, dont 8.500 sont opérationnels.
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